Geike partie
les aspir à tord ou à raison
n'ont pas attendu
pour lui trouver une remplaçante.
A 22 ans, Noémie Wolfs
a les dents longues
et une faim de loup.
La reprise d'un morceau cultissime
des massifs de Bristol
ne nous fera pas oublier
Geike et sa voix
mais le temps finira sans doute
par avoir raison,
à tord,
des plus beaux souvenirs.
Ils sont plus d’une centaine de salariés à occuper leur usine de thés et de tisanes, à Gémenos, dans les Bouches-du-Rhône. Objectif : éviter la fermeture d’une activité pourtant viable et construire un projet industriel alternatif, local et écologique. Problème : le géant de l’agroalimentaire Unilever, propriétaire de l’usine et des marques Lipton et Éléphant, que les salariés accusent de détournements fiscaux au profit des actionnaires, s’y oppose
La suite sur le site de Basta : link
Voilà, ça nous vient de Nouvelle Zélande,
mais ce ne sont pas les gros bras
des all black,
c'est plutôt léger, frais et ça chante pas mal
entre jazz et musique alternative,
c'est Kimbra Johnson
et ça s'déguste comme un kiwie
acidulée...
"Ni les humains ni les chiens ne reviennent nous hanter : ce qui nous poursuit c'est le temps qu'on ne leur a pas donné, les occasions perdues, le souvenir des attentes auxquelles on n'a pas su répondre."
p 84
Tous vos romans évoquent le paranormal. Que croyez-vous et jusqu'où ?
D.v.C. Je déteste ce mot, paranormal. Ça ne veut rien dire ! Je déteste la normalité. Auriez-vous posé cette question à Victor Hugo, qui faisait tourner les tables, ou à Balzac qui est l'auteur d'Ursule Mirouët, le livre le plus péremptoire et offensif sur la réalité de la médiumnité ? Ce que vous appelez aujourd'hui "paranormal" était, à leur époque, tout à fait naturel. C'était de la recherche. La France est devenue ce pays de matérialisme obtus, qui a fabriqué l'adjectif "cartésien" alors même que Descartes a écrit sur le chamanisme, l'interprétation des rêves et les forces invisibles... Voici ma conception de ce que l'on appelle le "paranormal" : c'est la perturbation. Mon devoir d'écrivain libre est de faire circuler ces éléments de réflexion. Je ne fais aucun prosélytisme. En tant que romancier, deux sujets me passionnent : la perturbation et la manipulation. Quand j'écris Hors de moi, je développe une idée de romancier : comment une identité fausse peut devenir, grâce à un coma, plus vraie que son identité de départ ? Et je reçois des lettres de neurochirurgiens qui me disent que ces cas ont vraiment été observés.
tiré d'une interview de l'Express : link
Un film de John Avnet Avec :
Al Pacino
Alicia Witt
leelee Sobieski
Amy Brenneman
Deborah Kara Unger
Leah Cairns
Benjamin McKenzie
Ce résumé est tiré de l'article de Wikipédia
Expert universitaire en psychiatrie criminelle, le docteur Jack Gramm est aussi consultant auprès du FBI. Il a construit sa remarquable réputation sur ses « évaluations » infaillibles des
individus et des facteurs de risque. C'est grâce à lui que le tueur en série Jon Forster a été arrêté et va être exécuté. Pourtant, des meurtres identiques sont à nouveau commis… Jack est
convaincu qu'il a vu juste et que c'est un imitateur qui continue l'oeuvre de Forster.
Lorsque Jack se retrouve directement menacé de mort, il est lui-même condamné à prouver que ses théories sont justes parce que sinon, dans 88 minutes, celui qui le traque le tuera...
Tout l'intérêt de ce genre de film réside dans la découverte de ce personnage qui téléphonne à Jack Gramm pour décompter les minutes qui lui restent, et le nombre même de 88 à une signification qui est donné dans le film et qui fait référence au passé de Jack.
Comme dans tout bon film tous le monde peut être suspecté à un moment ou à un autre.
Passons en revu les suspects potentiels :
La secrétaire homosexuelle en qui Jack a toute confiance :
Amy Brenneman
Les deux étudiants de Jack :
Benjamin McKenzie
et Leelee Siobesky
Son ancienne élève devenue son assistante à l'université :
Alicia Witt
Jusqu'à la doyenne de l'université qui pourrait avoir des raisons d'en vouloir à Jack
Deborah Kara Unger
Le film s'ouvre par une séquence située en 1997 le lendemain de la mort de lady Diana et montre le mode opératoire du tueur 'Forster) ainsi que sa condamnation. La séquence se clos sur des plans alternés d'un hydravion au décollage, de Jack Gramm et de Forster. C'est l'hydravion que l'on aperçoit par la fenêtre de la chambre où se trouve Jack 9 ans plus tard qui permet l'ellipse temporelle.
Le téléphone joue un rôle non négligeable non seulement parce que c'est à travers lui que le compte à rebours est communiqué à Jack, mais aussi parce que Gramm passe un nombre de coups de fil impressionnant tout le long du film et qu'à la fin, il finit par balancer son téléphone dans le vide.
Alex de la Iglesia s'est sans doute inspiré de la scène où Leah Cairns est nue avec un tablier de cuisine pour préparer le déjeuner car on retrouve Leonor Watling dans la même tenue dans "Crime à Oxford" qui date de 2008 alors que "88 minutes" est de 2007.
Ouais c'est Bogi
à la prestance à nul autre pareil,
au charme à rendre fou un Geoges Clooney.
En face c'est Audrey
la féminité à l'état pur,
le sourire à faire se morfondre
plus d'un iceberg,
la grâce et la pitié
pour les condamnés,
l'extase qui n'a pas de faim.
Et là tous les deux
réunis par Billy Wilder.
D'abord on n'y croit pas
puis, peu à peu on réalise
ils sont là tous les deux
dans les bras l'un de l'autre
si beaux
qu'on ne sait plus
si le monde existe toujours.
Palmyre
Palmyre
Palmyre
Palmyre
Palmyre
Palmyre
Palmyre
Non, ce ne sont pas les machines,
n'en déplaise aux Warchowsky,
qui nous dominent.
Non, nous sommes dominés
par les images.
pas un instant de notre vie
hormis le sommeil,
n'échappe à leur présence
à leurs agissements.
Elles modèlent nos pensées
orientent nos perceptions
anéantissent ce qui reste en nous
de libre arbitre.
Elles sont le nouvel opium du peuple
la nouvelle arme de destruction
bien plus massive que les bombes,
l'arme absolue dont dispose nos gouvernants.
L'image est devenue sans doute aujourd'hui
un autre moyen de continuer la guerre.
Tuer l'ennemi ne suffit plus
il faut aussi contrôler les images de sa mort.
Voir aussi les commentaires de Susan Sontag
sur la photo de la mort du Che.