TURQUITUDE

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La batarde d'Instambul
Elif Shafak

"La vie est une coïncidence"
Un roman attachant où se croisent et se mélangent, comme en cuisine, deux lignées, arménienne et turque, l'une à la recherche de son passée et l'autre qui souhaite l'oublier.
Deux passages tirés du manifeste nihiliste personnel de Asya la fille de Zéliha qui pourrait trouver son incarnation dans Nurgûl Yelciscay.
"La majorité écrasante de la population ne pense jamais, et la minorité pensante ne devient jamais une majorité écrasante. Alors choisis ton camp.
Si les réponses ne t'intéressent pas, ne pose pas de questions."

Fille d’une diplomate turque Elif Shafak est née à Strasbourg en 1971. Elle a passé son adolescence en Espagne avant de revenir en Turquie. Après des études en Gender and Women's Studies et un doctorat en sciences politiques, elle a un temps enseigné aux Etats-Unis à l’université de l’Arizona. Elle vit aujourd'hui à Istanbul. Internationalement reconnue, elle est l'auteur de neuf livres, dont La Bâtarde d'Istanbul (Phébus, 2007)

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Mercan dede

Arkin Allen alias Mercan Dede, ou Dj Arkin Allen, né Arkın Ilıcalı est un musicien turc qui allie musique de tradition soufie et musique électronique. Une symbiose parfaite entre tradition ottomane et modernité occidentale. Très jeune, vers l’âge de 15 ans Arkin Allen entreprend l'apprentissage du Ney , longue flûte de roseau traditionnelle, et les percussions comme le bendir et le hud. Il puise son inspiration musicale dans les enseignements du soufi Rumi. À la fin de ses études, il part au Canada et s’installe à Montréal et découvre dans les possibilités musicales de la musique techno qui a pour capacité de rassembler les gens dans l'euphorie de la transe. Il fonde alors en 1997 le Mercan Dede qui désigne également en turc un dignitaire soufi. Mercan Dede devient alors l’un des musiciens soufi les plus influents de sa génération. Sur scène, son groupe comprend un percussionniste, un clarinettiste et un joueur de ganun turcs, et un batteur (Article repris de Wikipédia)

Mehmed le faucon
Yachar Kemal

Une épopée lyrique qui se passe au sud de la plaine de l'Anavarza, là où coule le Djeyhan.

Yachar Kemal (en turc Yaşar Kemal, de son vrai nom Kemal Sadık Göğceli) est un romancier et journaliste turc, d'origine kurde, né en 1923 dans le village de Hemite près d'Osmaniye en Turquie. Issu d'une famille pauvre, il dut abandonner ses études après l'école primaire. Il pratiqua divers métiers, tout en publiant de la poésie. Il passa une année en prison en 950 pour « propagande communiste ». Son roman Mèmed le Mince lui valut le succès en 1955.

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Sezen Aksu

Née le 13 juillet 1954 à Denizli en Turquie
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Istambul
Orhan Pamuk

Longue déambulation dans un Istambul à la fois réel, rêvé et souvenu à la rencontre d'écrivains qui ont raconté la ville, cheminement intime dans la mémoire de l'auteur qui raconte son expérience de la ville à travers le prisme de son histoire familiale.

Orhan Pamuk est né à Istambul le 7 juin 1952
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De l'autre côté
Fatih Akin

Comment faire tenir ensemble deux cultures deux itinéraires dans un même personnage, comment la rencontre et la compréhension sont elles possibles entre deux êtres différents qui n'ont pas la même histoire, la même culture mais qui pourtant peuvent se comprendre. Comment la transmission filiation est-elle possible et à quel prix
Un film qui touche juste avec une magnifique musique de Kazim Koyuncu

Kâzım Koyuncu (né le 7 novembre 1971 à Artvin - mort le 25 juin 2005 à Istambul) est un chanteur-compositeur-interprète ainsi qu'un activiste turc d'origine laze. Il a enregistré des chansons dans les langues parlées le long du nord-est de la mer Noire, comme dans les dialectes régionaux turcs. Il a été le fondateur du groupe folk-rock Zuğaşi Berepe ("The Children of the Sea" en laze), en 1993. Ses deux albums solos ont obtenu un grand succès en Turquie et en Géorgie. Il est mort d'un cancer des poumons en 2005. Ses chansons comprennent aussi des textes en arménien, hémichi, géorgien et mingrélien.

Head-on

Fatih Akin
Toujours sur le thème de la double appartenance à la fois comme lien et comme entrave et toujours le thème de l'amour comme moyen de relier les différences sans les abolir dans une tentative de se comprendre.
A noter dans ce film comme dans "De l'autre côté" la thèmatique du meurtre.

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