Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

Recherche

Archives

14 octobre 2017 6 14 /10 /octobre /2017 15:52
Thomas Sankara

 

 

 

«Notre révolution n’aura de valeur que si, en regardant derrière nous, en regardant à nos côtés et en regardant devant nous, nous pouvons dire que les Burkinabés sont, grâce à elle, un peu plus heureux. Parce qu’ils ont de l’eau saine à boire, parce qu’ils ont une alimentation abondante, suffisante, parce qu’ils ont une santé resplendissante, parce qu’ils ont l’éducation, parce qu’ils ont des logements décents, parce qu’ils sont mieux vêtus, parce qu’ils ont droit aux loisirs ; parce qu’ils ont l’occasion de jouir de plus de liberté, de plus de démocratie, de plus de dignité. (...) La révolution, c’est le bonheur. Sans le bonheur, nous ne pouvons pas parler de succès . »

C’est ainsi que Thomas Sankara, président du Burkina Faso, définissait le sens de son action, treize jours avant le coup d’Etat du 15 octobre 1987 au cours duquel il devait être assassiné.

 

Discours prononcé à Tenkodogo le 2 octobre 1987.

 

 

.

Partager cet article
Repost0

commentaires