11 octobre 2009
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Que serait Michelangelo sans Monica ?
Quatre titres comme autant de signes dont le déchiffrement, avec le temps, n'épuise toujours pas les significations entrevues à travers le déploiement d'un corps, qui ne susciterait aucune émotion, qui ne supporterait aucun désir, mais dont le passage lui-même ferait récit comme une ouverture laisse le regard s'échapper suivant des lignes de fuites à peine obstruées par une présence qui masque autant qu'elle suggère.
Quatre titres comme autant de signes dont le déchiffrement, avec le temps, n'épuise toujours pas les significations entrevues à travers le déploiement d'un corps, qui ne susciterait aucune émotion, qui ne supporterait aucun désir, mais dont le passage lui-même ferait récit comme une ouverture laisse le regard s'échapper suivant des lignes de fuites à peine obstruées par une présence qui masque autant qu'elle suggère.




